Chanson que j’écoute lorsque je suis en colère: Ashtray de Beast

Ce billet est écrit dans le cadre du Défi 30 chansons en 30 Jours.

Jour 20 – une chanson que vous écoutez lorsque vous êtes en colère

Pourquoi celle-là? Pour me rappeler…d’où je viens.

Parce que je suis en éternel duel contre moi-même. Pour me calmer un peu et me rappeler le passé avec authenticité ou vérité. Comme deux pôles qui s’opposent, cette alliance incongrue développée dans la réalité est peut-être le seul moyen d’être en paix avec soi-même. Être en guerre est épuisant par moment, la trêve devrait être commencée depuis bien longtemps.

Pour se questionner ou rechercher. Pour que la haine s’en aille, ou juste la colère, tout simplement. Comment rendre chacune des secondes de son existence encore meilleure que la précédente? Comment, en restant soi-même, donner le meilleur de nous-même aux gens qui nous entourent afin de potentialiser les forces de chacun?

Pour réfléchir et explorer. Pour vivre dans l’amour contre ceux qui se complaisent dans la hargne ou l’abondance. L’accumulation des forces de tout le monde pourrait-elle pallier aux faiblesses individuelles qui nous consomment? Le groupe peut-il transcender l’individualité sociétale qui pourrit la moelle d’une société qui cafouille et s’y blesse au passage? Le passage de qui? Qui est-là? Qui êtes vous?

Pour sourire et exploser. La synergie pour combattre la léthargie. L’énergie pour combattre l’inertie. Le savoir pour contrer l’ineptie. L’amour pour effacer la tristesse. En effectuer l’addition pour me submerger dans le bonheur. Dans mon sanctuaire autant que dans ma réalité, juste pour organiser mon bonheur intérieur.

Alors, quand je suis en colère, j’écoute cela et je me souviens…de tout cela.

Ashtray

I used to think it was all about me
I was victimized by everything
I used to lose and i lose again
Now i’m living like a cigarette in an ashtray

I used to think it was all about me
I used to suffer through everything
I used to lose and i lose again
Now i’m dying like a cigarette in an ashtray

Rembering
Where you came from
Surrendering
When you’re ending
Reprocessing
Rembering where you come from when you’re ending
What you have lost what you can win
Rembering where you come from when you’re ending
What you have lost what you can’t win
Acknowleding where you come from when you’re ending
What you have lost what you can win
Acknowleding where you come from when you’re ending
What you have lost what you can’t win
Surrendering what you’re made of
What you’re made from
What you have done
When the end comes
Reprocessing where you came from when your ending
What you have lost what you can’t win
Reprocessing what you’re made of
What you’ve become, all you have learned, what you have done
Reprocessing, what you’re made of
What you have done, when you’re bleeding
Rembering

Rembering

Reprocessing

You like to think it’s all about you
You are victimized by everything
You do the same things over and over again
Soon you’ll be lost like a cigarette in an ashtray

He used to think it was all about him
He was victimized by everything
He did the same things over and over again
I lost him like a cigarette in an ashtray

Anecdote de groupie: Oh my god je suis tellement intense présentement! Ne vous en faites pas, la vie est belle et pleine de soleil (moment quétaine), qui s’affichera encore ce soir dans mes yeux lorsque je verrai Colectivo sur la scène des Bobards. À partir de ce moment-là, on pourra vraiment dire que je suis possédée par l’Esprit du Rastaman.

Anecdote de groupie no. 2: Ce soir, je sens que je ne tripperai pas tellement sur les pianistes (on s’entend là-dessus), mais je risque de pâlir devant certains grands guitaristes de ce monde. C’est ça qui arrive.

Source

Ce billet est un texte original du Journal d’une Groupie

firefly

@caroisonfire sur twitter : Music addict \ blogueuse sur le Journal d'une groupie à temps plein et travaille à temps partiel. La vie est courte. Penses-y.   Firefly sur Zik'n'Blog : Pour connaître mes goût musicaux, on peut découvrir mon Défi musical 30 jours, 30 chansons Caroline Dubois sur Facebook: impertinence et musique à volonté. J'accepte les demandes d'amitié. Être humain sur la planète terre. J'accepte les invitations sur la lune.

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